Mais la valeur de cette constante était encore
inconnue à l’issue du tome I. Et la chiffrer fut
dans le tome II le but de l’auteur, aujourd’hui
décédé, et qui œuvra de 1967 à
1984 dans ce qu’il nomma « son laboratoire »,
à savoir le système solaire et l’espace
terrestre. Ce livre est très ardu et s’adresse
à des esprits scientifiques et expérimentateurs.
Appliquant la loi Turpin-Desjean dans ce laboratoire,
l’auteur fut amené à revoir le concept
actuel de la mécanique céleste et à faire
trois études :
- la relativité dans les mouvements célestes,
basée sur un équilibre dynamique de l’univers,
- l’application de sa loi dans le système planétaire
solaire,
- enfin les équations d’équilibre des
masses dans l’espace terrestre, cette troisième
étude permettant pas à pas à l’auteur
de chiffrer tous les coefficients physiques apparaissant dans
ses équations, jusqu’à aboutir à
la valeur de la véritable constante universelle.
Mais au passage, bouleversant des idées
entérinées depuis trois siècles, il démontre
que :
- les gaz peuvent attirer une masse, mais ne peuvent être
attirés par cette masse, car ils n’ont pas de
volume préhensible,
- les corps de même masse ne chutent pas également
dans le vide, mais d’autant plus vite qu’ils sont
moins denses c’est à dire plus légers
!
- notre Terre n’est qu’une bulle gazeuse entourée
d’une croûte de 50 km maximum et sa masse est
200 fois moindre que ce que l’on a calculé !